Après Paris, Le Caire et Doha, le président Félix Tshisekedi poursuit son périple à l’étranger et séjourne désormais à Belém au Brésil où il va participer à la COP30 aux côtés d’une cinquantaine de chefs d’Etat et de gouvernement du monde.
Au cours de cette grande messe climatique mondiale, le chef de l’Etat congolais, comme lors sa dernière participation à la COP26 de Glasgow en 2021, veut mobiliser des financements pour la conservation des forêts tropicales.
Et d’après la présidence congolaise, le Président Tshisekedi saisira cette opportunité pour sensibiliser sur le Couloir vert Kivu-Kinshasa, un projet lancé officiellement en janvier 2025 et présenté comme celui qui va répondre au besoin de protection de la planète.
Si le Président Tshisekedi justifie ses déplacements à l’étrangers comme une démarche diplomatique dont la RDC a besoin, ses détracteurs lui reprochent une dilapidation inutile des ressources publiques dans ces voyages qui enregistrent des délégations pléthoriques sans aucun résultat à la faveur du pays et de la population congolaise.
