Après un communiqué recadrant frontalement les évêques catholiques de la CENCO qui demandaient dans une déclaration au prochain gouvernement de « tout mettre en œuvre pour gagner le pari de l’organisation des élections crédibles, transparentes et apaisées en 2023 », le porte-parole du président Félix Tshisekedi réagit et rejette ce dernier.

En effet, Kasongo Mwema, qui réitère que le Chef de l'État n'a jamais nié la nécessité d'organiser les élections en 2023, affirme qu’il n'a aucune intention de dépasser ce délai constitutionnel : « Il ne faut pas lui prêter des intentions farfelues », ajoute-t-il.

Kasongo Mwema affirme également que la présidence de la république n'a publié aucun à l’encontre de la déclaration de la CENCO, rejetant ainsi celui publié sur la page officielle de la présidence de la république.

Il explique que ce dernier « est une précipitation qui n'a pas respecté toutes les procédures pour être mise en ligne. »

Il faut dire que nombreux sont ceux qui ont vu d’un mauvais œil « cette communication qu’ils qualifient d’un acharnement contre les évêques catholiques. »